Histoire perdue de Pont-Saint-Vincent

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Histoire-Généalogie, la vie et la mémoire des hommes

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Anciens Pasteurs (par ordre chronologique d'occupation du poste en l'église de Pont-Saint-Vincent) :

Pierre Symonin 1597 - 1624
Gaspard Huot 1624 - 1643
Nicolas Pierre 1643 - 1670
Philippe Bardin 1670 - 1682
Joseph Bazin 1682 - 1736
Nicolas Noel 1737 - 1754
François Frétant 1754 - 1759
Noël Dauphin 1759 - 1821


Noms lisibles sur les bancs de l'église, datés de 1754 :

ALLIE (é) COLLOT GENIN MARTIN ROYER
ANDRE (é) CONTAL GOTFER MENGIN SENIC
ANXION CREPEY GRANDIDIER MICHEL SIZEMONT
BADEL DASSULE GRANMICHEL MOINE TESSON
BAILLOT DASSURE GREMEL MOLARD THENOT
BAILLY DE BERNE HENRY MOTA TOURTEL
BAUGE DONCOURT JACQUART MOUTOILLE TOUSSAINT
BENOIT DUVAL JOLAIN NOTTAIRE VIGNERON
BOGE (é) FEVRE JOLY PARISOT VOIRAND
BOUCHE FIGUEL LA ROCHE PERIN VOIRIOT
BOULET FOURNIER LAURENT PRUNIER  
CALAIN FRANCOIS LEGER REMY  
CHARDIN GAIGNEDENIER MALHOTTE RICATTE  
CHOQUART GEGOULT MARLIER RISTON  
COLIN GENE MARTEL ROUSSEL  


ANEL Matthieu (fin XVIe(?) - fin XVIIe) :

Chasseur décédé en 1699 à l'âge de 115 ans. (?!) (d'après Léon Germain : Excursions épigraphiques à Pont-saint-Vincent)


ARNOULT (famille) (XVIIIe) :

L'héritage des Bardin passe à cette famille au XVIIIe. "Sieur Arnoult, (était alors) gentilhomme de S.A.R" (propos du curé Bazin).


AULBRY - Claudin (début XVIIe) :

Il se fait remarquer dans sa jeunesse lorsqu'il tenta de forcer le passage pour entrer au château de Pont-Saint-Vincent ou se tenait le banquet du mariage de Fisson en présence de la Comtesse de Vaudémont : Christine de Salm. "distribua des coups et des injures à gérard Fortuné, qui, commis à la garde de la porte, l'empêcha d'y pénétrer. Pour cela il fut frappé d'une amende de 15 francs avec défense, de la part de la Comtesse, de plus récidiver sous peine de punition corporelle."


BAILLOT - Jean - (XVIIe - 1729) :

"Maître cordonnier à Pont".


BAR - Nicolas De - (fin XVe - début XVIe) :

Maçon à Pont-Saint-Vincent, Maître des oeuvres de maçonnerie du Comté de Vaudémont, il est chargé de la reconstruction des 2 tours du château et réalise un four dans l'une d'elles.

De Bar


BARDIN - Jacques - (milieu du XVIe - 1626) :

Conseiller du Prince Charles de Lorraine (futur Charles IV). Seigneur du Verger fut commandant ès ville et château de Nantes en Bretagne, conseiller aux conseils privés des princes Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercoeur et de Penthièvre, et de François de Lorraine, comte de Vaudemont, de Salm et de Chaligny. La famille Bardin reçut ses lettres de noblesse alors que Jacques s'illustrait en Bretagne au côté de Nicolas duc de Mercoeur et comte de Vaudémont, en tant que capitaine de ses gardes et gouverneur de Nantes.

Il est logé dans une dépendance du château : la maison de la basse-cours, avec un jardin, une petite grange, une cave et une écurie que le duc de Mercoeur lui avait assurés en viager, pour lui et sa femme.


BERNE - Jacques De - ( XVIIe - 1757) :

"Gentilhomme irlandais, sous-brigadier des gardes du corps du grand-duc de Toscane, meurt à 90 ans et est enterré dans la chapelle du St Sépulcre." (abbé Boulanger). Il épousa Barbe Bazin le 13 avril 1707 dont il eut une fille Jeanne. Cette fille épousa Henry Tourtel le 22 juin 1723 puis Nicolas Gérard le 11 avril 1747.


BIDOS - Jean de - (milieu du XVe - 1509) : "Jeannot de Biddoz"

Personnage emblématique de la fin du XVème siècle qui marqua, avec sa femme Madeleine de Parspagaire, la vie du bourg par sa présence et ses réalisations, notamment la chapelle Sainte Barbe sur les hauteurs du village et la "Chapelle des Seigneurs" de l'église.

Originaire du Pays Basque où un village porte d'ailleurs son nom (Bidos), écuyer et panetier du Duc de Lorraine René II, il reçut à titre de gagère, les seigneuries de Lorey et de Pont-Saint-Vincent pour s'être illustré au côté du duc lors de la bataille de Nancy (5 janvier 1477) où il fit prisonnier Antoine de Bourgogne.

Il habita alors la localité jusqu'à sa mort vers 1509, et fut enterré dans l'église Saint Julien de Brioude à Pont-Saint-Vincent, dans la chapelle qu'il avait fait construire avec sa femme Madeleine de Parspagaire. La pierre tumulaire, toujours visible, comportait l'inscription suivante :

Ci gist Ne Biddoz

en son vivant

escuyer et pannetier du roy

de Sicille et seigneur de Pont

à Saint Vincent qui trespassa

céans l'an 150(9?)

Jean de Bidos, vitrail de l'église St Julien


BOIS DE RIOCOUR - François Antoine, comte du - (1761 - 1841)

Propriétaire de "La Tournelle" en 1789, chevalier, conseiller d'Etat, premier président de la Chambre des Comptes de Lorraine, seigneur de Pont-Saint-Vincent. Le 9 octobre 1793, les titres de noblesse du citoyen Dubois-Riocourt sont saisis par les autorités révolutionnaires. En mai 1794, ces titres sont jetés au feu lors d'une grande fête civique. Il devient ainsi Antoine Dubois.


BONNAIRE - Nicolas - (fin du XVIe - 1630) :

On retrouve son épitaphe sur une croix qui porte son nom et qui devait se trouver le long d'un chemin. Sa fille Marguerite en 1674 " donne 50 francs de rente pour que, la veille de l'ascension on fasse passer la procession près de cette croix et qu'on y récite un évangile, le de Profundis le Miserere et l'Oraison pour les fidèles trépassés".


CHARDOT - Claudin - ( XVIIe) :

Claudin Chardot, dit Humelevent, chevaucheur des bois (personnel du comté chargé de la garde et la conservation des forêts ).


CORDIER - Jean - ( XVIIe) :

Chirurgien recensé en 1611.


CLAUDE - N. (?) - (? - 1513) :

Père de Jean (1er), il fut certainement le premier de cette famille à venir habiter Pont-Saint-Vincent. Il était " maire du Pont ".


CLAUDE - Jean (1er ) - (? - 1569) :

Premier de la famille à naître dans la commune "natif de ce lieu". Châtelain de Pont-Saint-Vincent, marié à Claudon et père de Jean Claude (2e) et de Louise Claude. Il fonda la première chapelle de l'église vers 1496. Sur le mur de celle-ci on peut lire :

"Très honorable Homme Jean CLAUDE a fondé à perpétuité à jamais trois messes basses qui seront dites en la chapelle du St Sépulcre, tous les ans au temps de carême..."


CLAUDE - Jean (2e) - ( ? - 1594) :

Fils de Jean Claude (1er) et de Claudon. En 1586 il était admodiateur du prieuré de Neuves-Maisons.


CLAUDE - Thierry - (XVIe) :

Ancien châtelain de Pont-Saint-Vincent continue de résider dans le château et touche une pension de 500 frs en 1568.


CLAUDON - ( ? - 1570) :

Femme de Jean Claude (1er), fille de Jean de la Courcelle et mère de Jean.


COURCELLE - Jean de la - (? - 15??) :

Valet de chambre de Jeanne de Lorraine, fille aînée de Ferry II comte de Vaudémont. Père de Claudon.


CUNY - CUNI (Famille) :

Elle fut anoblie en 1624, et succède à la famille Claude dans la chapelle du St Sépulcre, les hommes de cette famille se sont succédé dans les fonctions de greffier contrôleur du comté pour les Chaligny.

Leur écusson figurant le daim des armoiries de la famille Cuny est surmonté d'un casque, timbré de la tête de daim et garni de lambrequins. ("Porte de gueules, à un daim effraïé d'or, armé, onglé et lampassé d'azur; et pour cimier une tête et col de daim de l'écu.")


CUNY - Bertrand - (? - 1629) :

Fils de Jean Cuny, homme de chambre de Mgr de Vaudémont (François II de Lorraine, père du Duc Charles IV). Enterré en l'église de Pont-Saint-Vincent dans la chapelle du St Sépulcre. Procureur d'office au comté de Chaligny.


CUNY - Jean - (? - 1593) :

Fils de Nicolas Cuny et d'Elisabeth Commaney, père de Bertrand. Procureur d'office au comté de Chaligny pour le duc de Mercoeur.


CUNI - Mengin - (2ème moitié du XVIIe) :

Tenancier de "l'Auberge de la fleur de lys" en 1662.

DARDINIER - (famille) :

Famille de vignerons originaire du Saintois, installée à Pont-Saint-Vincent vers la deuxième moitié du XVIIIe.

Leur écusson est ainsi décrit : "D'argent, au chêne arraché de gueules, englanté d'or, sommé d'un alerion de gueules, à champagne de sable, chargé de trois dards d'argent, accostés."

Blason Dardinier


DIVAROLLE Salvat (XVIIe) :

Médecin de Pont-Saint-Vincent recensé en 1675.


DONCOURT (fin XVIIIe - XIXe) :

Ancien officier de l'armée impériale, devenu "demi-solde", il était favorable au retour de Napoléon de l'île d'Elbe.
Cette famille était propriétaire du château de la Tournelle entre la fin du XVIIIe et 1845.


FISSON - François de - (fin XVIe début XVIIe) :

Régisseur du château sous François de Vaudémont, " écuyer, prévôt, capitaine, receveur et gruyer du comté de Chaligny". Sa fille, Anne, est enterrée à Pont-Saint-Vincent. La famille Fisson a pour ascendant Collignon Fisson, châtelain de Koeur, anobli en 1467 ; ses descendants devinrent seigneurs du Montet, près de Nancy et baron du Saint-Empire.

Fisson


GERARD - Alexandre - (fin XVIIe - 1729) :

"hôtelier de la Croix de Lorraine" enterré le 30 septembre 1729 sous la chaire à prêcher de l'église paroissiale.


GOUJON - (Mileu du XVe) :

Châtelain chargé de la gestion et de l'entretien du château de Pont-Saint-Vincent en l'absence des seigneurs vers 1450.


GRANDIDIER - Claude - (XVIIe) :

Bourgeois de Pont-Saint-Vincent qui fait réaliser une image de Saint Urbain, il devient ainsi chef de cette confrérie en 1683.


GRANDIN - Jean-Charles - (XVIIIe - 1743) :

"Chanoine prébendé de Thélod, meurt dans sa famille à Pont-Saint-Vincent, le 19 janvier 1743, et est inhumé dans l'église à côté de l'autel St-Nicolas, place de ces ancêtres".


GREMEL - Joseph - ( XVIIe - 1699) :

Chirurgien de Pont-Saint-Vincent.


GREMEL - Nicolas - (fin XVIIe - 1728) :

Chirurgien de Pont-Saint-Vincent qui se noit dans la Moselle en 1729.


GROSHENRY- Hilaire - (XVIIe) :

Tient un hôtel à Pont-Saint-Vincent. Lorsque les bourreaux de Nancy venaient pour une exécution dans le bourg, ils logeaient dans cet hôtel.


HANUS - Bastien - (fin XVIe - début XVIIe) :

Echevin, réalise, avec Didier Simonin et Gaspard Lallemant, l'inventaire et déclaration des meubles trouvés au château de pont-saint-Vincent le 6 janvier 1576.


HENNEQUEL - Gérard - (début XVIIe) :

Fin 1619, on nourissait dans la jumenterie du château de Pont-Saint-Vincent 21 juments et 7 poulains sous la direction d'un fonctionnaire qu'on appelait jumentier. Hennequel occupait ce poste cette année.


LALLEMANT - Gaspard - (fin XVIe - début XVIIe) :

Prévôt du comté de Challigny de 1573 à 1610.


LIEBAULT - Auguste Ambroise - (1824 - 1904) :

Liebault

" Ne a Favieres en Meurthe-et-Moselle, le 16.09.1823, Auguste LIEBEAULT devint médecin en 1850. Il s'intéresse alors a l'hypnotisme et aux sciences occultes. Il s'installe alors a Pont-Saint-Vincent et utilise les procédés propres au magnétisme pour éliminer de multiples maladies.
Il s'intéresse au Braidisme et adoptera finalement la méthode simple et efficace de l'Abbé FARIA, qui consiste à endormir ses patients en les fixant dans les yeux et en leur donnant l'ordre de dormir. LIEBAULT affirmait que la collaboration avec le malade était indispensable et qu'il s'établissait une relation permettant, par des manoeuvres appropriées, la mise en sommeil hypnotique.
En fait, il croyait à l'action d'un fluide dans les phénomènes hypnotiques et il voulait le démontrer scientifiquement. Il ne s'agissait pas de fluide proprement parler, mais d'une relation d'ordre télépathique entre l'hypnotiseur et l'hypnotise. Par l';intermédiaire de ses lectures, LIEBAULT s'orientera vers une conception ou la conscience ne siège pas seulement dans le cerveau, mais aussi dans les autres centres du système nerveux, qu'il nommera ATTENTION.

Il oublie, bien entendu, l'esprit, mais il l'avait devine au travers de ses travaux. La méfiance paysanne était encore de rigueur en Lorraine et l'étrange médecin de Pont-Saint-Vincent n'attirait guère la clientèle.

C'est alors qu'il proposa à sa clientèle de la soigner gratuitement par ses nouvelles méthodes. Les succès se multiplièrent et il obtint des centaines de guérisons par suggestion sous sommeil hypnotique, en influençant, tel ou tel organe. Il était de plus en plus convaincu qu'il avait découvert une méthode pour guérir toutes les maladies.

Il cherchait une loi universelle qui lui permettrait de comprendre l'homme et de le guérir en rétablissant une harmonie intérieure et extérieure, une bonne entente entre le corps et l'esprit.

Il s'installa à Nancy au n' 4 de la rue Bellevue (aujourd'hui, rue du Docteur Liebault) dans le but de faire découvrir au monde médical cette nouvelle méthode.

Il fut malheureusement très déçu par les sarcasmes d'un corps médical dont une des constantes est de refuser et de nier en bloc tout ce qui n'est pas enseigne officiellement.

Il rompt alors sa collaboration avec cette médecine conformiste et installe sa polyclinique, sous l'enseigne de ce qu'il croit être son état et sa vocation : "Dr LIEBAULT - GUERISSEUR".

Sa polyclinique était bien modeste, composée d'un petit pavillon semblable a une loge de concierge ou nullement incommodes par le bruit et l'odeur, les clients se succédaient les uns aux autres attendant du Docteur quelques mots réconfortants avant de sombrer dans cet extraordinaire sommeil, source de leur guérison.

DELBOEUF, philosophe belge disait du Dr LIEBAULT : " Un homme aux allures vives, teint bistre de campagnard, oe;il brillant et anime, parole sonore et précipitée, physionomie ouverte, melangé de gravite et de simplicité, d'autorité et de douceur."

BEANIS, médecin de l'école de Nancy ponctua sa rencontre avec LIEBAULT par ses mots :

"Sous ses dehors un peu frustres, on découvrait bien vite un savoir étendu, une intelligence puissante une volonté énergique. On sentait dans ses paroles une honnêteté scientifique, une conviction inébranlable et une foi profonde dans ses idées, foi qu'il savait faire passer chez les autres."

LIEBAULT voulait donner à chacun le droit a la santé, le moyen de guérir et il continuait sa réflexion sur la science, cherchant à y placer l'homme, afin d'y découvrir le secret de son unité et de sa relation avec l'univers.

Il publia son premier ouvrage "du sommeil et des états analogues" en 1855 et "Ebauche de psychologie en 1872.

En août 1886, le Congres de l'Association française pour l'Avancement des Sciences, voit enfin la consécration du modeste "médecin guérisseur".

Ses guérisons étaient éclatantes et il répandait ses soins partout. En 1889, il réédita son premier livre sous le titre de "Thérapeute suggestive" qui connut un grand succès. Ses visiteurs étaient surtout des étrangers d'Amérique, Russie, Angleterre, Suisse mais bien évidemment aucun médecin de Nancy.

Plusieurs pays avaient ouvert des cliniques qui permettaient le traitement par l'hypnotisme et la suggestion, s'inspirant des Ecoles de Nancy.

C'est également A l'occasion de ce Congres que Sigmund FREUD rencontrera, a Nancy, les Dr LIEBAULT et BERNHEIM, afin de s'instruire sur l'hypnose et les puissants processus psychiques caches a la conscience des hommes.

Il s'éteignit le 18 février 1904.

Le Dr LIEBAULT a fait un travail extraordinaire et Freud lui doit la découverte de l'inconscient, inconscient que LIEBAULT nommait "ATTENTION". "



MANGIN - Jean - (milieu du XVIIIe) :

Bourgeois de Pont-Saint-Vincent, entrepreneur des ouvrages royaux, maître d'oeuvre de la 1ère église de Neuves-Maisons en 1778.


MARCHAL - Dominique (ou Demange selon les sources)- (milieu du XVIIe - 1680) :

Ancien ermite mis en possession de l'hermitage de Ste Barbe. Tué en 1680 par Claude JOLY.


MATHIEU - Didier - (fin XVIIe) :

En 1666, juste après la guerre de trente ans qui ravagea Pont-Saint-vincent, il est recensé en tant qu'architecte.


MATTHIEU - Claudon - (fin XVIe début XVIIe) :

En 1618 le Comte de Chaligny, François de Lorraine, ordonne à ses officiers de délivrer gratuitement du bois à Claudon Mathieu


MATTHIEU - César - (fin XVIe début XVIIe) :

Fit poser en l'an 1603, une croix sur le plateau Ste Barbe sur le socle de laquelle on pouvait lire : "Pour mériter envers dieu, César Matthieu et sa femme m'ont fait ici poser en l'an 1603 et pour préparer leur pardon."


MATTHIEU - Didier - (début XVIIe) :

Fermier du moulin de Pont-Saint-Vincent.


MESSEIN - Geoffroy de - (fin XVe - début XVIe) :

Tanneur à Pont-Saint-Vincent en 1506.


MILLE - Marguerite de - (1672) :

Fille de Dominique de Mille et petite fille de Jean-François de Mille, archer des gardes du Duc Henry. Elle est enterrée dans la chapelle Saint-Nicolas en l'église de Pont-Saint-Vincent.


MOINE - Antoine - (fin XVIIe - XVIIIe) :

Aubergiste. En 1730 il fonda 2 messes et donna divers biens afin d'obtenir une station de la procession des Rogations à la chapelle érigée dans sa propriété.


MORY - Adrian de - (XVIe) :

Marchand à Pont-Saint-Vincent, marié à Alix Liégeois, enterrés tout deux dans la chapelle St Nicolas. Descendant de François-Dominique de Mory, venue d'Italie du temps du roi René.


NOTAIRE - Henry - (XVIIe) :

Il est nommé lieutenant de prévôt (équivalent du "maire" actuel) à Pont-Saint-Vincent en 1653


PARSPAGAIRE - Madeleine de - (? - fin du XVe) :

Première femme de Jean de Bidos. Fille d'Errard Parspegaire, écuyer, seigneur d'Autrey en partie, capitaine de Vaudémont, et de Jeanne de Joinville, dame de Pulligny en partie.


PIEROT - David - (fin XVIe - début XVIIe) :

Commis de ville (sorte de gouverneur de la ville chargé de l'administration quotidienne, nommé par l'assemblé générale des chefs de maison) en binôme avec Porillon.


PIGNOLET - Mangin - (1550 - 1620) :

Maçon, pêcheur, suivant la besogne. Natif de Gondreville il s'installe ensuite à Pont-Saint-Vincent.


PORILLON - Symonin - (fin XVIe - début XVIIe) :

Commis de ville. Voir Pierot.


RAMBOUILLET - Jean 1er de - (? - 1573) :

Ecuyer de cuisine de monseigneur de Vaudémont (Nicolas de Lorraine), prêvôt et gruyer du comté de Chaligny; il fut anobli le 26 juin 1554. "Porte d'azur, à trois perdrix d'or posées deux et une ; et pour cimier une perdrix essorante."

Il était le protégé du comte de Vaudémont (Nicolas de Lorraine), qui devenu Duc de Mercoeur, entraîna en Bretagne son fils lui-même nommé Jean de Rambouillet.


RAMBOUILLET - Jean (2e) de - (? - 1573) :

Conseiller et trésorier des Ducs de Mercoeur.

Il enterré avec sa femme anne Bardin dans la chapelle Ste Anne. Ne laissant aucun enfant, leurs biens passèrent à des neveux, enfants de Philippe Bardin et de Nicole Huressier, dont l'ainé était Jacques Bardin.


REGNIER (XVe)
:

Maire de Pont en 1441 et 1450.


SIMONIN - Didier (fin XVe - début XVIIe)
:

Echevin (voir Hanus)


SIMONIN ou SYMON - (début XVe)
:

Maire de Pont qui fournit du poisson à la Comtesse de Vaudémont en 1410.


TOURTEL - Henry (? - 1740) :

"Greffier en chef de la prévôté de Chaligny".


TOURTEL - Jean (fin du XVIIIe) :

Tanneur.


TOURTEL - Nicolas (fin du XVIIe) :

Chirurgien recensé en 1675, et Maire de Pont-Saint-Vincent en 1698.


VIENNE - Nicolas De (XVe) :

Seigneur de Pont-saint-Vincent, capitaine de la ville et du château de Ligny. Donne à l'abbaye de Boulancourt tout ce qu'il possède à Longeville. Le 20 janvier de chaque année une messe anniversaire est ainsi célébrée en son honneur en cette abbaye. Son père se nomme Jean de Pont-Saint-Vincent, sa mère Marie de Norroy, sa femme Isabelle de Blennod et son fils Nicolas.


VAUDEMONT - Louise De (1553 - 1601) :

Née le 30 avril 1553 au château de Nomeny; morte à Moulins le 29 janvier 1601. Elle est issue de la branche de Vaudémont, branche cadette de la maison de Lorraine et est cousine des Guise. Elle fut reine de France de 1575 à 1589, à la suite de son mariage avec Henri III de France.

Louise de Vaudémont

En novembre 1568 l'intendant du Comte de Vaudémont, Nicolas de Lorraine, remet 12 francs à "Mademoiselle, fille aînée de Nicolas, par ordonnance de Monseigneur". La jeune princesse qui habitait alors le chateau du Pont et y recevait les largesses de son père n'était autre que la future reine de France, Louise de Vaudémont. (cf Chaligny ses seigneurs, son comté - P. Fournier).

Voir sur le site de Wikipédia pour plus d'informations sur la vie de la future Reine de France, via ce lien.

Vaudémont


VILLE - Marguerite De (XVe) :

Dame de Pont-Saint-Vincent qui élit sa sépulture dans la chapelle des seigneurs de Germiny en l'église de l'Abbaye de Clairlieu en 1485.
De Ville


VINGT-ET-UN(G) - Gérard (fin XVe) :

Maire de Pont en 1470.


VOYRAND - Nicolas (fin XVIIe - début XVIIIe) :

"Marchand de Pont St Vincent décédé le 13 avril 1733 à l'âge de 82 ans" enterré en l'église.

Fisson

De Bar

De Ville

Vaudémont

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