Anciens Pasteurs (par ordre chronologique d'occupation du poste
en l'église de Pont-Saint-Vincent) :
Pierre
Symonin |
1597
- 1624 |
Gaspard
Huot |
1624
- 1643 |
Nicolas
Pierre |
1643
- 1670 |
Philippe
Bardin |
1670
- 1682 |
Joseph
Bazin |
1682
- 1736 |
Nicolas
Noel |
1737
- 1754 |
François
Frétant |
1754
- 1759 |
Noël
Dauphin |
1759
- 1821 |
|
Noms lisibles sur les bancs de l'église, datés de 1754 :
ALLIE
(é) |
COLLOT |
GENIN |
MARTIN |
ROYER |
ANDRE
(é) |
CONTAL |
GOTFER |
MENGIN |
SENIC |
ANXION |
CREPEY |
GRANDIDIER |
MICHEL |
SIZEMONT |
BADEL |
DASSULE |
GRANMICHEL |
MOINE |
TESSON |
BAILLOT |
DASSURE |
GREMEL |
MOLARD |
THENOT |
BAILLY |
DE
BERNE |
HENRY |
MOTA |
TOURTEL |
BAUGE |
DONCOURT |
JACQUART |
MOUTOILLE |
TOUSSAINT |
BENOIT |
DUVAL |
JOLAIN |
NOTTAIRE |
VIGNERON |
BOGE (é) |
FEVRE |
JOLY |
PARISOT |
VOIRAND |
BOUCHE |
FIGUEL |
LA ROCHE |
PERIN |
VOIRIOT |
BOULET |
FOURNIER |
LAURENT |
PRUNIER |
|
CALAIN |
FRANCOIS |
LEGER |
REMY |
|
CHARDIN |
GAIGNEDENIER |
MALHOTTE |
RICATTE |
|
CHOQUART |
GEGOULT |
MARLIER |
RISTON |
|
COLIN |
GENE |
MARTEL |
ROUSSEL |
|
|
ANEL Matthieu (fin XVIe(?) - fin XVIIe) :
Chasseur
décédé en 1699 à l'âge de 115
ans. (?!) (d'après Léon Germain : Excursions épigraphiques à Pont-saint-Vincent)
|
ARNOULT (famille) (XVIIIe) :
L'héritage
des Bardin passe à cette famille au XVIIIe. "Sieur
Arnoult, (était alors) gentilhomme de S.A.R" (propos
du curé Bazin).
|
AULBRY - Claudin (début XVIIe) :
Il
se fait remarquer dans sa jeunesse lorsqu'il tenta de forcer
le passage pour entrer au château de Pont-Saint-Vincent
ou se tenait le banquet du mariage de Fisson en
présence de la Comtesse de Vaudémont : Christine
de Salm. "distribua des coups et des injures à gérard
Fortuné, qui, commis à la garde de la porte, l'empêcha
d'y pénétrer. Pour cela il fut frappé d'une
amende de 15 francs avec défense, de la part de la Comtesse,
de plus récidiver sous peine de punition corporelle."
|
BAILLOT - Jean - (XVIIe - 1729) :
"Maître
cordonnier à Pont".
|
BAR - Nicolas De - (fin XVe - début XVIe) :
Maçon
à Pont-Saint-Vincent, Maître des oeuvres de maçonnerie du Comté de Vaudémont, il est chargé de la reconstruction des
2 tours du château et réalise un four dans l'une d'elles.
|
|
BARDIN - Jacques - (milieu du XVIe - 1626) :
Conseiller
du Prince Charles de Lorraine (futur Charles IV). Seigneur
du Verger fut commandant ès ville et château de
Nantes en Bretagne, conseiller aux conseils privés des
princes Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercoeur et de
Penthièvre, et de François de Lorraine, comte de
Vaudemont, de Salm et de Chaligny. La famille Bardin
reçut ses lettres de noblesse alors que Jacques s'illustrait
en Bretagne au côté de Nicolas duc de Mercoeur et
comte de Vaudémont, en tant que capitaine de ses gardes
et gouverneur de Nantes.
Il
est logé dans une dépendance du château :
la maison de la basse-cours, avec un jardin, une petite grange,
une cave et une écurie que le duc de Mercoeur lui avait
assurés en viager, pour lui et sa femme.
|
|
BERNE - Jacques De - ( XVIIe - 1757) :
"Gentilhomme
irlandais, sous-brigadier des gardes du corps du grand-duc
de Toscane, meurt à 90 ans et est enterré dans
la chapelle du St Sépulcre." (abbé Boulanger).
Il épousa Barbe Bazin le 13 avril 1707 dont il eut une
fille Jeanne. Cette fille épousa Henry
Tourtel le 22 juin 1723 puis Nicolas Gérard le 11
avril 1747.
|
BIDOS - Jean de - (milieu du XVe - 1509) : "Jeannot
de Biddoz"
Personnage
emblématique de la fin du XVème siècle qui
marqua, avec sa femme Madeleine de Parspagaire, la vie du bourg
par sa présence et ses réalisations, notamment
la chapelle Sainte Barbe sur les hauteurs du village et la "Chapelle
des Seigneurs" de l'église.
Originaire
du Pays Basque où un village porte d'ailleurs son nom
(Bidos), écuyer et panetier du Duc de Lorraine René II,
il reçut à titre de gagère, les seigneuries
de Lorey et de Pont-Saint-Vincent pour s'être illustré au
côté du duc lors de la bataille
de Nancy (5 janvier 1477) où il fit prisonnier Antoine
de Bourgogne.
Il
habita alors la localité jusqu'à sa mort vers
1509, et fut enterré dans l'église Saint Julien
de Brioude à Pont-Saint-Vincent, dans la chapelle qu'il
avait fait construire avec sa femme Madeleine de Parspagaire.
La pierre tumulaire, toujours visible, comportait l'inscription
suivante :
Ci
gist Ne Biddoz
en
son vivant
escuyer
et pannetier du roy
de
Sicille et seigneur de Pont
à Saint
Vincent qui trespassa
céans
l'an 150(9?)
|
|
BOIS DE RIOCOUR - François Antoine, comte
du - (1761 - 1841)
Propriétaire
de "La Tournelle" en
1789, chevalier, conseiller d'Etat, premier président
de la Chambre des Comptes de Lorraine, seigneur de Pont-Saint-Vincent.
Le 9 octobre 1793, les titres de noblesse du citoyen Dubois-Riocourt
sont saisis par les autorités révolutionnaires.
En mai 1794, ces titres sont jetés au feu lors d'une grande
fête civique. Il devient ainsi Antoine Dubois.
|
|
BONNAIRE - Nicolas - (fin du XVIe - 1630) :
On
retrouve son épitaphe sur une croix qui porte son nom
et qui devait se trouver le long d'un chemin. Sa fille Marguerite
en 1674 " donne 50 francs de rente pour que, la veille
de l'ascension on fasse passer la procession près de cette
croix et qu'on y récite un évangile, le de
Profundis le Miserere et l'Oraison pour les fidèles
trépassés".
|
CHARDOT -
Claudin - ( XVIIe) :
Claudin Chardot,
dit Humelevent, chevaucheur des bois (personnel du comté chargé de
la garde et la conservation des forêts ).
|
CORDIER -
Jean - ( XVIIe) :
Chirurgien
recensé en 1611.
|
CLAUDE - N. (?) - (? - 1513) :
Père
de Jean (1er), il fut certainement le premier de cette famille à venir
habiter Pont-Saint-Vincent. Il était " maire
du Pont ".
|
|
CLAUDE - Jean (1er ) - (? - 1569) :
Premier
de la famille à naître dans la commune "natif
de ce lieu". Châtelain de Pont-Saint-Vincent,
marié à Claudon et père de Jean Claude (2e)
et de Louise Claude. Il fonda la première chapelle de
l'église vers 1496. Sur le mur de celle-ci on peut lire
:
"Très
honorable Homme Jean CLAUDE a fondé à perpétuité à jamais
trois messes basses qui seront dites en la chapelle du St Sépulcre,
tous les ans au temps de carême..."
|
CLAUDE - Jean (2e) - ( ? - 1594) :
Fils
de Jean Claude (1er) et de Claudon. En 1586 il était admodiateur
du prieuré de Neuves-Maisons.
|
CLAUDE - Thierry - (XVIe) :
Ancien
châtelain de Pont-Saint-Vincent continue de résider
dans le château et touche une pension de 500 frs en 1568.
|
CLAUDON - ( ? - 1570) :
Femme de Jean
Claude (1er), fille de Jean de la Courcelle et mère de
Jean.
|
COURCELLE - Jean de la - (? - 15??) :
Valet
de chambre de Jeanne de Lorraine, fille aînée de
Ferry II comte de Vaudémont. Père de Claudon.
|
CUNY - CUNI (Famille) :
Elle
fut anoblie en 1624, et succède à la famille Claude
dans la chapelle du St Sépulcre, les hommes de cette famille
se sont succédé dans les fonctions de greffier
contrôleur du comté pour les Chaligny.
Leur écusson
figurant le daim des armoiries de la famille Cuny est surmonté d'un
casque, timbré de la tête de daim et garni de lambrequins.
("Porte de gueules, à un daim effraïé d'or,
armé, onglé et lampassé d'azur; et pour
cimier une tête et col de daim de l'écu.")
|
|
CUNY - Bertrand - (? - 1629) :
Fils de Jean
Cuny, homme de chambre de Mgr de Vaudémont (François
II de Lorraine, père du Duc Charles IV). Enterré en
l'église de Pont-Saint-Vincent dans la chapelle du St
Sépulcre. Procureur d'office au comté de Chaligny.
|
CUNY - Jean - (? - 1593) :
Fils de Nicolas
Cuny et d'Elisabeth Commaney, père de Bertrand. Procureur
d'office au comté de Chaligny pour le duc de Mercoeur.
|
CUNI - Mengin
- (2ème moitié du XVIIe) :
Tenancier de "l'Auberge
de la fleur de lys" en 1662.
|
DARDINIER - (famille) :
Famille de vignerons originaire du Saintois, installée à Pont-Saint-Vincent vers la deuxième moitié du XVIIIe.
Leur écusson
est ainsi décrit : "D'argent, au chêne arraché de gueules, englanté d'or, sommé d'un alerion de gueules, à champagne de sable, chargé de trois dards d'argent, accostés."
|
|
DIVAROLLE
Salvat (XVIIe) :
Médecin
de Pont-Saint-Vincent recensé en 1675.
|
DONCOURT (fin
XVIIIe - XIXe) :
Ancien
officier de l'armée impériale, devenu "demi-solde",
il était favorable au retour de Napoléon de l'île
d'Elbe.
Cette famille était propriétaire
du château de la Tournelle entre
la fin du XVIIIe et 1845.
|
FISSON -
François de - (fin XVIe début XVIIe) :
Régisseur
du château sous François de Vaudémont, " écuyer,
prévôt, capitaine, receveur et gruyer du comté de
Chaligny". Sa fille, Anne, est enterrée à Pont-Saint-Vincent.
La famille Fisson a pour ascendant Collignon Fisson, châtelain
de Koeur, anobli en 1467 ; ses descendants devinrent seigneurs
du Montet, près de Nancy et baron du Saint-Empire.
|
|
GERARD - Alexandre - (fin XVIIe - 1729) :
"hôtelier
de la Croix de Lorraine" enterré le 30 septembre 1729 sous la
chaire à prêcher de l'église paroissiale.
|
GOUJON - (Mileu du XVe) :
Châtelain chargé de la gestion et de l'entretien du château de Pont-Saint-Vincent en l'absence des seigneurs vers 1450.
|
GRANDIDIER - Claude - (XVIIe) :
Bourgeois
de Pont-Saint-Vincent qui fait réaliser une image de Saint
Urbain, il devient ainsi chef de cette confrérie en 1683.
|
|
GRANDIN - Jean-Charles - (XVIIIe - 1743) :
"Chanoine
prébendé de Thélod, meurt dans sa famille à Pont-Saint-Vincent,
le 19 janvier 1743, et est inhumé dans l'église à côté de
l'autel St-Nicolas, place de ces ancêtres".
|
GREMEL - Joseph - ( XVIIe - 1699) :
Chirurgien
de Pont-Saint-Vincent.
|
GREMEL - Nicolas - (fin XVIIe - 1728) :
Chirurgien
de Pont-Saint-Vincent qui se noit dans la Moselle en 1729.
|
GROSHENRY- Hilaire - (XVIIe) :
Tient
un hôtel à Pont-Saint-Vincent. Lorsque les bourreaux
de Nancy venaient pour une exécution dans le bourg, ils
logeaient dans cet hôtel.
|
HANUS - Bastien - (fin XVIe - début XVIIe)
:
Echevin,
réalise, avec Didier Simonin et Gaspard
Lallemant, l'inventaire
et déclaration des meubles trouvés au château
de pont-saint-Vincent le 6 janvier 1576.
|
HENNEQUEL - Gérard - (début
XVIIe) :
Fin 1619, on nourissait dans la jumenterie du château de Pont-Saint-Vincent 21 juments et 7 poulains sous la direction d'un fonctionnaire qu'on appelait jumentier. Hennequel occupait ce poste cette année.
|
LALLEMANT - Gaspard - (fin XVIe - début
XVIIe) :
Prévôt
du comté de Challigny de 1573 à 1610.
|
LIEBAULT - Auguste Ambroise - (1824 - 1904)
:
" Ne a Favieres en Meurthe-et-Moselle, le 16.09.1823, Auguste LIEBEAULT
devint médecin en 1850. Il s'intéresse alors a l'hypnotisme et
aux sciences occultes. Il s'installe alors a Pont-Saint-Vincent et utilise les
procédés propres au magnétisme pour éliminer de multiples
maladies.
Il s'intéresse au Braidisme et adoptera finalement la méthode
simple et efficace de l'Abbé FARIA, qui consiste à endormir
ses patients en les fixant dans les yeux et en leur donnant l'ordre
de dormir. LIEBAULT affirmait que la collaboration avec le malade était
indispensable et qu'il s'établissait une relation permettant,
par des manoeuvres appropriées, la mise en sommeil hypnotique.
En fait, il croyait à l'action d'un fluide dans les phénomènes
hypnotiques et il voulait le démontrer scientifiquement. Il
ne s'agissait pas de fluide proprement parler, mais d'une relation
d'ordre télépathique entre l'hypnotiseur et l'hypnotise.
Par l';intermédiaire de ses lectures, LIEBAULT s'orientera vers
une conception ou la conscience ne siège pas seulement dans
le cerveau, mais aussi dans les autres centres du système nerveux,
qu'il nommera ATTENTION.
Il
oublie, bien entendu, l'esprit, mais il l'avait devine au travers
de ses travaux. La méfiance paysanne était encore
de rigueur en Lorraine et l'étrange médecin de
Pont-Saint-Vincent n'attirait guère la clientèle.
C'est
alors qu'il proposa à sa clientèle de la soigner
gratuitement par ses nouvelles méthodes. Les succès
se multiplièrent et il obtint des centaines de guérisons
par suggestion sous sommeil hypnotique, en influençant,
tel ou tel organe. Il était de plus en plus convaincu
qu'il avait découvert une méthode pour guérir
toutes les maladies.
Il
cherchait une loi universelle qui lui permettrait de comprendre
l'homme et de le guérir en rétablissant une harmonie
intérieure et extérieure, une bonne entente entre
le corps et l'esprit.
Il
s'installa à Nancy au n' 4 de la rue Bellevue (aujourd'hui,
rue du Docteur Liebault) dans le but de faire découvrir
au monde médical cette nouvelle méthode.
Il
fut malheureusement très déçu par les
sarcasmes d'un corps médical dont une des constantes
est de refuser et de nier en bloc tout ce qui n'est pas enseigne
officiellement.
Il
rompt alors sa collaboration avec cette médecine conformiste
et installe sa polyclinique, sous l'enseigne de ce qu'il croit être
son état et sa vocation : "Dr LIEBAULT - GUERISSEUR".
Sa
polyclinique était bien modeste, composée d'un
petit pavillon semblable a une loge de concierge ou nullement
incommodes par le bruit et l'odeur, les clients se succédaient
les uns aux autres attendant du Docteur quelques mots réconfortants
avant de sombrer dans cet extraordinaire sommeil, source de
leur guérison.
DELBOEUF,
philosophe belge disait du Dr LIEBAULT : " Un homme aux
allures vives, teint bistre de campagnard, oe;il brillant et
anime, parole sonore et précipitée, physionomie
ouverte, melangé de gravite et de simplicité,
d'autorité et de douceur."
BEANIS,
médecin de l'école de Nancy ponctua sa rencontre
avec LIEBAULT par ses mots :
"Sous
ses dehors un peu frustres, on découvrait bien vite
un savoir étendu, une intelligence puissante une volonté énergique.
On sentait dans ses paroles une honnêteté scientifique,
une conviction inébranlable et une foi profonde dans
ses idées, foi qu'il savait faire passer chez les autres."
LIEBAULT
voulait donner à chacun le droit a la santé,
le moyen de guérir et il continuait sa réflexion
sur la science, cherchant à y placer l'homme, afin d'y
découvrir le secret de son unité et de sa relation
avec l'univers.
Il
publia son premier ouvrage "du sommeil et des états
analogues" en 1855 et "Ebauche de psychologie en
1872.
En
août 1886, le Congres de l'Association française
pour l'Avancement des Sciences, voit enfin la consécration
du modeste "médecin guérisseur".
Ses
guérisons étaient éclatantes et il répandait
ses soins partout. En 1889, il réédita son premier
livre sous le titre de "Thérapeute suggestive" qui
connut un grand succès. Ses visiteurs étaient
surtout des étrangers d'Amérique, Russie, Angleterre,
Suisse mais bien évidemment aucun médecin de
Nancy.
Plusieurs
pays avaient ouvert des cliniques qui permettaient le traitement
par l'hypnotisme et la suggestion, s'inspirant des Ecoles de
Nancy.
C'est également
A l'occasion de ce Congres que Sigmund FREUD rencontrera, a
Nancy, les Dr LIEBAULT et BERNHEIM, afin de s'instruire sur
l'hypnose et les puissants processus psychiques caches a la
conscience des hommes.
Il
s'éteignit le 18 février 1904.
Le
Dr LIEBAULT a fait un travail extraordinaire et Freud lui doit
la découverte de l'inconscient, inconscient que LIEBAULT
nommait "ATTENTION". "
|
MANGIN - Jean - (milieu du XVIIIe) :
Bourgeois
de Pont-Saint-Vincent, entrepreneur des ouvrages royaux, maître
d'oeuvre de la 1ère église de Neuves-Maisons en
1778.
|
MARCHAL - Dominique (ou Demange selon les sources)- (milieu du XVIIe
- 1680) :
Ancien ermite
mis en possession de l'hermitage de Ste Barbe. Tué en
1680 par Claude JOLY.
|
MATHIEU - Didier - (fin XVIIe) :
En 1666, juste
après la guerre de trente ans qui ravagea Pont-Saint-vincent,
il est recensé en tant qu'architecte.
|
MATTHIEU - Claudon - (fin XVIe début XVIIe) :
En 1618 le Comte de Chaligny, François de Lorraine, ordonne à ses officiers de délivrer gratuitement du bois à Claudon Mathieu
|
MATTHIEU - César - (fin XVIe début XVIIe) :
Fit
poser en l'an 1603, une croix sur le plateau Ste Barbe sur le
socle de laquelle on pouvait lire : "Pour mériter
envers dieu, César Matthieu et sa femme m'ont fait ici
poser en l'an 1603 et pour préparer leur pardon."
|
MATTHIEU - Didier - (début XVIIe) :
Fermier du
moulin de Pont-Saint-Vincent.
|
MESSEIN - Geoffroy de - (fin XVe - début XVIe) :
Tanneur à Pont-Saint-Vincent
en 1506.
|
MILLE - Marguerite de - (1672) :
Fille de Dominique
de Mille et petite fille de Jean-François de Mille, archer
des gardes du Duc Henry. Elle est enterrée dans la chapelle
Saint-Nicolas en l'église de Pont-Saint-Vincent.
|
|
MOINE - Antoine - (fin XVIIe - XVIIIe) :
Aubergiste.
En 1730 il fonda 2 messes et donna divers biens afin d'obtenir
une station de la procession des Rogations à la chapelle érigée
dans sa propriété.
|
MORY - Adrian de - (XVIe) :
Marchand à Pont-Saint-Vincent,
marié à Alix Liégeois, enterrés tout
deux dans la chapelle
St Nicolas. Descendant de François-Dominique de Mory,
venue d'Italie du temps du roi René.
|
|
NOTAIRE - Henry - (XVIIe) :
Il
est nommé lieutenant de prévôt (équivalent
du "maire" actuel) à Pont-Saint-Vincent en 1653
|
|
PARSPAGAIRE - Madeleine de - (? - fin du XVe) :
Première
femme de Jean de Bidos. Fille d'Errard Parspegaire, écuyer,
seigneur d'Autrey en partie, capitaine de Vaudémont, et
de Jeanne de Joinville, dame de Pulligny en partie.
|
PIEROT - David - (fin XVIe - début XVIIe) :
Commis
de ville (sorte de gouverneur de la ville chargé de l'administration
quotidienne, nommé par l'assemblé générale
des chefs de maison) en binôme avec Porillon.
|
PIGNOLET - Mangin - (1550 - 1620) :
Maçon,
pêcheur, suivant la besogne. Natif de Gondreville il s'installe ensuite à Pont-Saint-Vincent.
|
PORILLON - Symonin - (fin XVIe - début XVIIe) :
Commis
de ville. Voir Pierot.
|
RAMBOUILLET - Jean 1er de - (? - 1573) :
Ecuyer
de cuisine de monseigneur de Vaudémont (Nicolas de Lorraine),
prêvôt et gruyer du comté de Chaligny; il
fut anobli le 26 juin 1554. "Porte d'azur, à trois
perdrix d'or posées deux et une ; et pour cimier une perdrix
essorante."
Il était
le protégé du comte de Vaudémont (Nicolas
de Lorraine), qui devenu Duc de Mercoeur, entraîna en Bretagne
son fils lui-même nommé Jean de Rambouillet.
|
|
RAMBOUILLET - Jean (2e) de - (? - 1573) :
Conseiller
et trésorier des Ducs de Mercoeur.
Il
enterré avec sa femme anne Bardin dans la chapelle Ste
Anne. Ne laissant aucun enfant, leurs biens passèrent à des
neveux, enfants de Philippe Bardin et de Nicole Huressier, dont
l'ainé était Jacques
Bardin.
|
REGNIER (XVe) :
Maire de Pont en 1441 et 1450.
|
SIMONIN - Didier (fin XVe - début XVIIe) :
Echevin (voir Hanus)
|
SIMONIN ou SYMON - (début XVe) :
Maire de Pont qui fournit du poisson à la Comtesse de Vaudémont en 1410.
|
TOURTEL - Henry (? - 1740) :
"Greffier
en chef de la prévôté de Chaligny".
|
TOURTEL - Jean (fin du XVIIIe) :
Tanneur.
|
TOURTEL - Nicolas (fin du XVIIe) :
Chirurgien
recensé en 1675, et Maire de Pont-Saint-Vincent en 1698.
|
VIENNE - Nicolas De (XVe)
:
Seigneur de Pont-saint-Vincent, capitaine de la ville et du château de Ligny. Donne à l'abbaye de Boulancourt tout ce qu'il possède à Longeville. Le 20 janvier de chaque année une messe anniversaire est ainsi célébrée en son honneur en cette abbaye. Son père se nomme Jean de Pont-Saint-Vincent, sa mère Marie de Norroy, sa femme Isabelle de Blennod et son fils Nicolas.
|
VAUDEMONT - Louise De (1553 - 1601)
:
Née le 30 avril 1553 au château de Nomeny; morte à Moulins le 29 janvier 1601. Elle est issue de la branche de Vaudémont, branche cadette de la maison de Lorraine et est cousine des Guise. Elle fut reine de France de 1575 à 1589, à la suite de son mariage avec Henri III de France.
En novembre 1568 l'intendant du Comte de Vaudémont, Nicolas de Lorraine, remet 12 francs à "Mademoiselle, fille aînée de Nicolas, par ordonnance de Monseigneur". La jeune princesse qui habitait alors le chateau du Pont et y recevait les largesses de son père n'était autre que la future reine de France, Louise de Vaudémont. (cf Chaligny ses seigneurs, son comté - P. Fournier).
Voir sur le site de Wikipédia pour plus d'informations sur la vie de la future Reine de France, via ce lien.
|
|
VILLE - Marguerite De (XVe)
:
Dame de Pont-Saint-Vincent qui élit sa sépulture dans la chapelle des seigneurs de Germiny en l'église de l'Abbaye de Clairlieu en 1485.
|
|
VINGT-ET-UN(G) - Gérard (fin XVe)
:
Maire de Pont en 1470.
|
VOYRAND - Nicolas (fin XVIIe - début XVIIIe)
:
"Marchand
de Pont St Vincent décédé le 13 avril
1733 à l'âge de 82 ans" enterré en
l'église.
|